La Maison de l’amour

extrait en ligne : 3’46"
"Camille marche dans la plaine. Elle est vêtue d’un manteau bleu..." Elle rencontre un aviateur dans la forêt. Il lui propose de l’aider à porter sa valise. Dans cette valise, Camille est une poupée. Elle rentre à la maison, où l’attend la speakerine delta, qui lui parle.
Les jeux des uns deviennent la vie des autres.

Abécédaire des transformations (L’)

extrait en ligne : 3’39"
De A : Abscence à Z comme Zorro, on passe par D : Philip K Dick (1928-1982). Les questions du temps, de la répétition, de la catastrophe, se posent dans une déambulation à voix multiples. Les dédoublements de la réalité sont dans le lieu même du tournage, dans les écrans de télévision, ou dans les yeux mêmes des protagonistes.

La carotte et le bâton

La nécessité d’acheter du matériel oblige la vidéaste à se rendre dans un lieu de consommation. La caméra effectue le trajet domicile-centre commercial, en suivant la carotte.

De la confiture aux cochons

Des porcs industriels goûtent pour la première fois de leur vie de la confiture de fraise, distribuée à même leur peau.

Tazena Tristan et Segendorf Gorg

Si je meurs, je meurs...

Sur la voie ferrée, un homme marche, rentre dans une maison abandonnée. La mort s’y trouve-t-elle ?

Pedro De Almeida

Souris Verte

La célèbre chanson pour enfant revisitée en version rock français

Pedro De Almeida

La vidéo, c’est très très technique

Le principe de la mise au point étudié au plus près. Entre netteté et image floue.

Pedro De Almeida

Jeorge

Les questionnements amoureux d’un hybride à l’humeur changeante.
La voix de Maruska Scettrini, et un autoportrait de l’auteur filmé plein cadre. Jeorge, est ce que tu m’aimes ?

Pedro De Almeida

Chante, rossignol, chante...

Parodie de karaoké, dont le décor étoilé rappelle certaines émissions de télé-réalité.
Portrait de l’auteur en chanteuse de variété, doublé par sa petite sœur.Musique reprise du film "Titanic".

Pip Chodorov et Marie-Laure Buisson

Esquisse

Inspirée d’une étude sur le corps humain de Francis Bacon, et d’un autoportrait de Picasso tenant ses pinceaux dans une main et son sexe dans l’autre, ce film esquisse une réflexion sur la non communication, où circulent en figures isolées le peintre, le modèle, le cinéaste, l’acteur et le spectateur.

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